C'est toujours poignant quand un ami biker nous quitte, surtout quand personne ne s'y attend et que, en plus a un age ou l'on a encore envie de rouler !
Bernard VERGON
Suite a un malaise mortel sur la voie public un jour, ou posant son harley il s'en alla faire quelques courses !
Toute nos condoléances a sa jeune épouse, et toute sa famille, de la part de ces amis bikers de Dijon, auxquels je m'associe.
Suite a ce malheur, je me permet de faire copie de L'article paru dans le Bien Public.
Le malaise mortel interpelle les BPnautes
La malaise mortel qui a emporte samedi après-midi, un passant, en plein centre ville de Dijon est le sujet qui a fait réagir nos Bpnautes (notre édition de dimanche).
Angelo insiste sur le temps de réaction supposé des secours.Il écrit " Ma profession m'amène à appeler les interventions d'urgence assez souvent. Quatre fois depuis le mois de septembre.Trente minutes pour arriver sur les lieux." Rose lui répond :" Il ne faut pas généraliser, j'ai assisté deux fois a ce genre de scène.Une fois rue de la préfecture, une fois place Saint-Fiacre, les secours sont arrivés en quelques minutes. Les personnes ont été ranimées sur place, après je ne sais pas. Mais cela dépend beaucoup de la façon dont on explique la situation au standard."
Et on arrive à quelques réflexions de fond sur la formation aux premiers gestes qui sauvent.
On connaît les carences en ce domaine : " Une personne a des chances de s'en sortir sans séquelle si elle est réanimée dans un temps trés court ( moins de 5 minutes ). D'ou l'importance de l'intervention possible de ceux qui sont sur place. L'irrigation du cerveau conditionne tout le reste " nous rappelle, fort a propos, Marie-F
Papette partage cet avis : " Ce qui est choquant, c'est qu'en France personne ou presque ne sait " tenter " le geste qui sauve. La reaction doit intervenir dans les secondes qui suivent le malaise en attendant l'arrivée des secours. Combien parmi nous, y a t'il de gens qui ont une simple notion de secourisme ? "
Ma reflexion a moi, voudrais que l'ont appelle a une loi, pour que tout un chacun, au sein de l'école, de l'entreprise, d'une association, soit à même, d'avoir eu, une formation gratuit, des gestes qui sauvent et de savoir se servir d'un défibrillateur ! ( note : celui çi côute entre 600 et 2000 € )
A vos bourses, comptables et trésoriers, des magasins du centre ville, directeur d'école, responsables d'associations ! Car a en coîre les témoignages, si cela avait été le cas, notre ami serais encore parmi nous a ce jour !
Une grande pensée philosophique a nos responsables politiques !
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